Mes écrits

Mes écrits :

La Foret

Regard errant émerveillement je me sens mieux,
Au bord des méandres d'un sentier sinueux.

...

Les jeunes fougères telles des serpents sortant de terre,
Leurs courts corps se courbant majestueusement,
Aux pieds de raides troncs dressant vers le ciel clair,
Verts ombrages leurs bras ouverts chaleureusement.

Vision olfactive et douce d'un bruissement,
D'une fine bordée bleue jouant dans les feuillages,
Ou qu'un être ténu laissa dans son sillage,
Je poursuis mon chemin semé de crissements.

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Là-bas.

Là-bas, à l'autre bout de l'océan,
Se trouve un petit bout de paradis,
Là-bas, la seule saison est le printemps,
Et les jardins y sont toujours fleuris.

Fleurs de là-bas, de ce coin de bonheur,
Terre resplendissante et protégée,
Vous qui n'avez jamais connu de pleurs,
C'est de votre beauté dont j'ai rêvé.

Là-bas où tout n'est que paix et amour,
Rien ne vient troubler le chant des oiseaux,
Qui viennent nous réveiller chaque jour,
Si gentiment avec leurs chants nouveaux.

Et je sens que mon cœur va exploser,
Tant il est emplie de bonheur, de joie,
Plus rien ne peut me forcer à rester,
Je voudrais tant pouvoir partir là-bas.

Oh toi! Petit bout de terres bénies,
Jusqu'au jour où je pourrais t'aborder,
Je rêverais de tes terres fleuries,
Où mon cœur sera alors apaiser.

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Traîtresse immaculée

Ah, poussières de l'automne!
Sous la longue nuit humide,
Elles tombent au sifflement de Perséphone,
Son vent sur les terres vides.

Éclats de diamants roses,
Dans l'aube mourante,
Une soie qui ankylose,
Accompagne ses ombres errantes.

Brûlent, les lèvres de satin vermeil,
Brûlent, cheveux en bottes de paille,
Brûlent de froid les corps d'oseille,
Et gèlent de feu les cottes de mailles!

Les capes des Émirs,
Des dieux,
Sont recouvertes du blanc soupir,
Des cieux.

Les chaumières aux murs de marbre,
S'enflamment au crépitement des larmes d'arbres,
Et penauds s'écroulent les épouvantails,
Sous leur nouveau manteau d'émail.

Camouflées dans leurs cercueils de ouate,
Les fleurs-caramboles,
Souvenirs d'un été moite,
S'endorment jusqu'au printemps frivole.

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Rêves Enfouis

Vaste est cet univers que je ne connais point,
Et rongé par les vers je serais encore loin,
D'avoir vu son immense et infinie richesse,
Senti ces odeurs rance, ouï ces cris de faiblesse.

Jamais je ne pourrais m'aventurer plus loin,
Que ces arbres épais recouvrant chaque coins,
Que ce monde limite que l'on m'a imposé:
"Vivons tous en Hermite dans la belle foret".

Curieux de l'extérieur les elfes ne le sont pas,
Je vois toute mes soeurs me lancer d'une seule voix:
"Qu'y a t'il en dehors de notre belle forêt?
Que tristesse et mort on peut te l'assurer!"

Mais que savent-ils dont tout ces fou enfermés,
Des beautés en amont de la grande forêt,
Des villes théoriques qui sont bâties la-bas
Par ces peuples nordique que je ne connais pas.

Et même si le miel qui coule dans mes veines,
Est fruit de Brastos et de mes pareils,
Je ne puis m'empêcher le soir en m'endormant
De doucement rêver à ce monde envoutant...

Silendë.

Hé bien! quel beaux textes, vraiment de la très belle poésie, j'aime beaucoup! Comme quoi un moment simple peu etre embelli avec quelques lignes et rendu immortel... *verse une larmouchette*

Oui, ces textes-ci sont mes écrits RP.
Pour les intéressés, j'ai écris d'autres textes visible sur ce site : http://Richan.c.la/
Merci aux personnes qui prendront de leur temps pour les lire. ^^
Merci pour ces paroles Sir Reevon, prince de Narlindir.

Très beau texte. Je ne rien d'autre à rajouté, tout est dit dans les paroles de Reevon.

AHHH dur de passer derrière les garçons ils ont déjà tout dit !!!

bravo tes textes sont vraiment très beaux et remplis d'une grande sensibilité.

en espérant pouvoir en lire d'autres bientot hihihihi

C'est vraiment très impressionnant !!!!

Merci beaucoup, ça fait toujours plaisir à entendre.

moi qui en bave pour faire un rp lol
*jalouse*