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 Petite legende d'Ansvalten

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Reevon
Svanja de Teran
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MessageSujet: Petite legende d'Ansvalten   Petite legende d'Ansvalten Icon_minitimeVen 14 Nov - 20:42

Le cœur de Ansvalten

Sur les terres d’ Ansvalten, se trouvait un château appartenant à Orlicht le teigneux. C’était une personne égoïste, méchante et agressive. Il régnait sur une toute petite contrée située le long du littoral, et le peuple le craignait au plus haut point. Il avait une armée d’hommes à sont actif qui pillait avec des taxes hors de prix et martyrisait les villages aux alentours. Son château se trouvait en haut d’une falaise au bord de la mer. Le terrain l’entourant était dégagé de toute présence de vie. Tout fuyait l’édifice qui respirait le mal. Les arbres proches étaient morts. L’herbe florissante aux alentours avaient été remplacée par de la roche sombre. Les nuages noires et menaçant stagnaient au dessus de l’endroit et des ronces grimpaient au mur du château.
La légende disait que Orlicht était un homme bon par le passé, qu’il était fou amoureux d’une demoiselle, Tanya, et qu’il était prêt à tout pour elle. Mais la fille était volage et allait retrouver un homme, possédant la beauté et la force de la jeunesse pour aller batifoler. Un jour, Orlicht vint sa femme s’en allé du château, il la suivi et l’aperçu avec le garçon. Il rentra au château et attendu le retour de sa femme. Une fois la catin de retour très tard dans la nuit, la pluie battaient les fenêtres et l’orage tonnait en dehors. Orlicht attrapa sa femme et la traîna par les cheveux en haut de la plus haute tour de son château pour l’emmener sur le toit. Le ciel était de plus en plus menaçant. Il la jeta par terre et sorti une dague de son manteau. Par folie il lui coupa et arracha le coeur. Il leva la main en l’air avec son trophée comme pour le présenter aux dieux, et fut frappé par la foudre. D’après les rumeurs, les serviteurs entendirent ses hurlements déchirer la nuit. Au moment d’arriver sur le toit, ils ne virent que l’homme étalé de tout son long par terre, mais vivant. Il serrait dans sa main une pierre rouge.
Quand il se réveilla, Orlicht n’était plus le même. Il détruisit toute la chambre ou il dormait et fit retirer toute trace du passage de sa femme dans le château. Les décors qu’il y introduisait par la suite étaient lugubres et triste.
Plus le temps passait et plus il devenait méchant. On raconte que la foudre de Thor l’aurait puni de son acte, et aurait jeter toute son humanité dans la pierre et que sa haine et sa tristesse réside dans la carcasse qui lui sert de corps, et qu’il est rongé par ses sentiments. Tout cela à un point, qu’il contamina peu à peu sons château et ses serviteurs. Tous eurent le cœur aussi noir que l’ébène, et le drame continua en dehors du château.

Face aux infamies que subissait son village et sa famille, Voldran, un jeune homme courageux et bon de coeur, décida de trouver un moyen de renverser le tyran et de rendre la paix dans la région. Pour cela il fallait qu’il se forme au combat et qu’il trouve des compagnons assez fou pour le suivre. Son meilleur amis, Gareck, était très malin, et très agile. Il pouvait se vanter de ses talent d’équilibriste du à son agilité hors du commun, et d’être le plus doué aux jeux de réflexion. Tout deux décidèrent de partir à l’assaut du château mais après s’être bien préparé.
Un vieux soldat vivait reclus dans la forêt. D’après les dires, il avait été un des plus grands guerriers de son époque lors des grandes guerres de territoires qui ont déchiré nos terres pendant longtemps. Sa force équivalait a celle d’un bœuf et il pouvait déraciner un arbre rien qu’avec sa force. Mais il avait un caractère bien à lui, et il ne fallait mieux ne pas le déranger sans quoi il vous dévissait la tête du corps. « Bon ce n’était que des dires, après tout, les gens aiment bien broder, non ? » se réconforta Gareck en le racontant à son compagnon Voldran. Les derniers préparatifs avant de se mettre en route pour réclamer un entraînement auprès du mastodonte furent terminés rapidement.
Après s’être mis en selle, et après avoir salué leur famille et promis de revenir le plus vite plus fort et accompagnés de renforts pour préserver les leurs, les deux compagnons prirent le chemin des bois de Nivanhell. Cette immense forêt se trouve à quelques lieux de leur village. Ils avaient estimé à environs un jours et une nuit de voyage pour atteindre l’orée des bois, et environs 2jours de recherche pour retrouver Garanir, le colosse. Les deux premiers jours se déroulèrent paisiblement, seul avec leurs chevaux et les prairies à perte de vue, quelques valons ou bosquets traînant de ci de la. Nos compagnons étaient déterminé, silencieux la journée, et ne parlaient que lorsqu’ils faisaient halte a une petite rivière pour se désaltérer et laisser leurs animal paître et se reposer. La 1ère nuit, ils s’arrêtèrent aux abords d’une petite forêt, un petit court d’eau sortait de la masse feuillue, et l’endroit était sans doute propice aux petits animaux de gibier. Garek et Voldran possédait des vivres, mais ils eurent envie de chasser un lapin, histoire de passer le temps avant la tombée totale de la nuit. Ils se lancèrent dans les bois à la recherche d’un quelconque animale de gibier, et après n’avoir rien trouvé, ils décidèrent de retourner à leurs petit campement de fortune. Et là, un drame se présenta à leurs yeux. Un animal sauvage avait fouillé leurs sacs et dévoré leurs nourritures. Eparpillé un peu partout dans le campement, leurs viandes séchées et les quelques fruits qu’ils possédaient avaient été dévorés. Les deux amis se regardèrent dépité, et pendant que l’un d’entre eux parti chercher des plantes et racines à manger, l’autre rangeait et surveillait le campement.
Pour ces jeunes gens qui n’avaient pas l’habitude de camper à la belle étoile, cette 1ère nuit fut angoissante à souhait. Des bruits dans les feuillages des arbres, un rôdeur qui traînait autour du feu, un buisson qui bruissait, un animal nocturne qui poussait des cris angoissants, tout cela en cumulé firent que nos deux compagnons passèrent une nuit blanche.
Le lendemain, fatigués et endoloris de partout, ils reprirent le voyage tant bien que mal. Quand le soleil fut à son zénith, ils atteignirent l’épaisse forêt qui les mènerait à Garanir.
Beaucoup de légendes et contes plus intrigants les uns que les autres nourrissaient la crainte des gens d’approcher cette forêt épaisse et sombre. Très peu de personnes une fois rentrées à l’intérieur en sorti vivant, ou en sorti tout court…
Ils descendirent de selle et rentrèrent dans l’épaisse foret accompagné de leurs montures. Les bois étaient inquiétants. Sombres, froid, la végétation était omniprésente et oppressante. Il était fort difficile de se frayer un chemin parmi les ronces et les branches entremêlées.
Plus ils s’enfonçaient dans les bois, et plus il faisait sombre, comme si la nuit tombait en plein jour, alors qu’à l’heure qu’il était, il devait se trouver à son zénith. Après plusieurs heures de marche les deux compagnons étaient exténués. Ils n’avançaient guère rapidement et la forêt était de plus en plus dense. Ils durent se séparer de leurs chevaux car il devenait impossible de progresser dans l’épaisse forêt en leurs compagnies. A la fin de la journée, Garek et Voldran n’avait pas l’impression d’avoir avancé énormément, et leurs muscles les faisaient atrocement souffrir. Ils décidèrent de camper la où ils se trouvaient car la fatigue était de plus en plus pressante. Le lendemain c’est avec le ventre vide et une nuit à peine réparatrice qu’ils reprirent leur périple. Vers le milieu de l’après midi, Voldran commençait sérieusement à douter de leur quête. « Ce n’est qu’une légende après tout, ça se trouve c’est un conte pour enfant, as-tu vu l’épaisseur de la forêt ? C’est certain que personne ne c’est aventuré par ici depuis des lunes et des lunes. Allons plutôt chercher du renfort dans les contrées voisines, avec de la chance, ils nous aiderons… »


[i]Je n'ai pas encore fini cette legende, elle risque d'etre remodelée mais je souhaitais vous la faire partager...
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